Conçu par NL Architectsbasé à Amsterdam pour la Taïwan Tower , ce projet tente d'explorer les moyens d'intégrer des technologies durables dans l'architecture de grande hauteur. En combinant les deux typologies, éoliénnes et tour d'observation, le projet aspire à influer sur le contenu de la nouvelle génération de tours touristiques et dans le même temps de modifier l'apparence des futurs générateurs d'énergie éolienne. Il s'agit d'une tentative de donner une dimension esthétique de la technologie et la transformer en un bel objet.
Le bâtiment est un exo-squelette , un filet de structure enroulé autour de plateformes en constante évolution, assumant le rôle de soutien ainsi que de générateur d'énergie durable.
Surprise. Contrairement à ce que l'on croit, la mise en place et le fonctionnement du réseau Internet mondial requiert relativement peu d'énergie. C'est la conclusion à laquelle sont parvenus Barath Raghavan et Justin Ma, chercheurs à l'institut USCIet à l'université de Berkeley. Leur étude a en fait consisté à estimer la quantité totale d'énergie nécessaire à la construction et l'entretien des infrastructures réseau, ainsi qu'au fonctionnement permanent du réseau mondial.
L'Internet consomme une part réduite de l'énergie mondiale
Et bien qu'en valeur absolue, les résultats soient extrêmement impressionnants (entre 200 et 300 Gigawatts, soit la puissance d'une cinquantaine de centrales nucléaires), ils ne représentent qu'entre 1 et 2% du besoin global en énergie (de 16 Térawatts) de la planète. Les chercheurs en ont donc tiré deux conclusions majeures. D'une part, malgré la nécessité évidente de mettre au point des serveurs économes en énergie, il ne s'agit pas d'un secteur où les gains réalisés peuvent avoir un impact conséquent sur la consommation mondiale totale.
Plutôt un moyen de combattre la consommation d'énergie
D'autre part, cette valeur relativement faible doit être considérée comme une opportunité. Elle doit en effet pousser à modifier certains comportements, et à généraliser l'usage de l'Internet. Par exemple, pour organiser un colloque ou une réunion internationale, les chercheurs recommandent le recours massif à la vidéoconférence. D'après leurs calculs, une telle solution consommerait 100 fois moins d'énergie qu'une table ronde où chacun des participants aurait fait le déplacement depuis son pays ou sa ville d'origine.
L'édition 2011 du Salon du Vintage a lieu ce week-end à la Cité de la mode et du design, à Paris. Les visiteurs pourront cette année dénicher des pièces d'époque puisque les années 50 seront à l'honneur. De quoi renouveler votre garde-robe et votre intérieur en leur apportant un petit goût rétro-chic.
Ce concept n’est pas un concept signé officiellement Ferrari. Il s’agit de la création d’un designer indépendant, Aldo Schurmann.
Aldo Schurmann est un étudiant de l’institut d’art appliqué et de design de Turin, en Italie. Son concept est dénommé Celeritas. Il fait quelques clins d’œil aux F1 et voitures de sport des années 50 et 60 sans verser outre mesure dans le néo-rétro mais se montre particulièrement moderne d’un point de vue technique : il a en effet été conçu autour d’une base de Ferrari F430 Scuderia.
Voici une voiture mythique, la Bisiluro dessinée et créée par le dessinateur de génie Carlo Mollino. La Bisiluro a participé aux 24 heures du Mans de 1955 mais n'a pas fini la course.
Une belle campagne de publicité print pour ce fabriquant allemand de crayon et porte-mine baptisée Faber-Castell. Un travail de l’agence Serviceplan Munich. avec cette déclinaison autour de 4 visuels pour la baseline “True Colours. Faber-Castell”.
L’équipe de recherche et développement du fabricant japonais Toyota se penche actuellement sur un système capable de recharger les véhicules électriques pendant qu’elles roulent sur la route. Un projet intéressant pour un futur où on pressent la domination des véhicules électriques.
En effet, la Toyota Central R&D Labs veut mettre en place un système apparemment plus pratique que la charge par induction que l’on connait déjà. Au lieu de s’arrêter auprès des stations services pour refaire le plein d’énergie, les véhicules se rechargent en continuant leur chemin. Pour ce projet novateur, la charge se fait par ondes radio. Le procédé consiste à installer un système d’induction capable de transmettre de l’énergie électrique sous la surface de la route d’une part et à équiper les roues d’un récepteur d’autre part. Comme la roue est assez proche du système de transmission d’électricité, la transmission se fait sans difficulté.
Ce projet est en collaboration avec l’Université de Technologie de Toyohashi. Selon Masahiro Hanazawa de Toyota, le coût des infrastructures requis n’est pas élevé.
Au pays des kangourous, Holden représente avec une certaine fierté la production automobile. Ce constructeur, filiale australienne de General Motors, a apporté quelques lumineuses idées voici plus de 40 ans… Des idées aujourd’hui mises en série sur nos véhicules quotidiens ! Le concept a aujourd’hui, profité d’une profonde remise en ordre.
« Hurricane »
Avec un nom pareil, Holden a fait dans le tapageur… Pourtant, ce coupé sportif à deux portes représentait le summum de la technologie lorsqu’il a été présenté au grand public, au « Melbourne Motor Show », en 1969. Moteur central arrière et équipement de pointe, voilà un coupé qui a du défrayer la chronique ! Les journalistes de l’époque l’ont peut-être considéré comme utopique, voire loufoque, toujours est-il que ce concept était remarquablement visionnaire : ses équipements se retrouvent aujourd’hui au sein de votre véhicule !
RD 001
Si le nom de code RD 001 manque cruellement de mélodie à l’oreille, le reste de l’engin ne manque pas de faire rêver : ligne incroyablement basse (moins d’un mètre de haut) et élancée, courbes voluptueuses et proue se terminant sur des traits tendus. Un joli coup de crayon que l’on pourrait croire transalpin. Mais la mécanique trahit les origines de la bête : Holden y a installé un V8 de 4.2 l délivrant la bagatelle de 262 chevaux et équipé (c’est une grande première), d’un carburateur quadruple corps. Ainsi motorisé, ce coupé ne devait pas manquer d’allant !
Clim auto, GPS, radio RDS…
Mais ce sont les équipements embarqués qui étonnent. Rappelons-le, ce concept australien date de 1969 ! Et pourtant, on y trouve une climatisation à réglage automatique de la température, une radio à recherche automatique de stations, une caméra de recul (sic), une instrumentation digitale électronique et, tenez-vous bien, un ancêtre du GPS !
Baptisé « Pathfinder », ce système de navigation est relié à une série d’aimants situés le long de la route, au niveau des intersections. Sur le tableau de bord, des flèches s’illuminent pour indiquer la direction au conducteur et s’accompagne d’un signal sonore. C’était il y a 42 ans !
Microsoft n'a jamais été mauvaise au petit jeu des vidéos d'anticipation : la firme de Redmond en a publié plusieurs ces dernières années, mettant sa vision à jour au fur et à mesure de l'émergence de nouvelles technologies. Une des premières vidéos du genre chez Microsoft essayait de dessiner l'informatique en 2010 : raté sur les interfaces et l'usage du stylet, tout bon sur l'usage du sans-fil, des smartphones, des tablettes, et de la visio.