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Téléphone Nokia MWC17 : revival du 3310

28 Février 2017, 21:08pm

Publié par Grégory SANT

 

 
 
 
 
MWC 17 - Nokia : des terminaux décevants mais l'ambition d'être le 3e mondial...

Stratégie : Le Nokia actuel n'a plus rien à voir avec la marque finlandaise mythique, la preuve avec des nouveautés qui laissent assez froid. Mais le Nokia made in HMD a de grandes ambitions...

 

L'espoir fait vivre. Chez Nokia (la licence de marque exploitée par HMD), on pense véritablement avoir sa carte à jouer sur la marché des smartphones. En surfant sur la mythique marque mais avec quels produits ? Les nouveautés dévoilées ce dimanche au Mobile World Congress se partagent entre smartphones Android noyés dans la masse et un revival du 3310 à intérêt plus que limité tant au niveau de la forme que du fond.

Pourtant, Florian Seiche, président de HMD interrogé par Europe 1 s'y voit déjà : "Le marché du smartphone est tellement important et l’attachement à la marque Nokia tellement présent que beaucoup de choses sont possibles. Rien que dimanche, 1,3 million de personnes ont suivi notre conférence de presse en direct sur Internet. Et lorsque nous avons pré-lancé notre premier smartphone en Chine en janvier, les résultats ont été très encourageants. Plus d’un million de consommateurs se sont pré-enregistrés pour l’acheter en quatre jours. C’est très encourageant". 

Et de poursuivre en toute humilité : "Nous commençons tout juste, mais l’objectif est de redevenir l’un des plus grands vendeurs de smartphone. Nous souhaitons faire partie du top 3 des vendeurs de mobile dans le monde d’ici cinq ans." C'est à dire dépasser en toute simplicité le géant chinois Huawei qui a vendu près de 140 millions de terminaux l'an passé... Le tout avec une taille de start-up, des capacités de R&D limitées et dans un marché global du smartphone qui commence à s'essouffler. 

Car il faut le répéter, ce Nokia là n'a rien à voir avec le Nokia des années 2000 qui régnait sans partage sur le marché du mobile (41% de parts de marché en 2008). Après être passée entre les mains de Microsoft, la marque Nokia a été reprise par HMD via un accord de licence, une petite société montée en partie par d'anciens cadres du finlandais. Une start-up qui n'a pas la force de frappe ni la R&D de son illustre ancêtre.

Ce Nokia ressemble de près à ces dizaines de petits fabricants qui confient leur production au chinois Foxconn. La marque est belle mais HMD ne risque-t-il pas de la dévoyer avec une stratégie qui pose question. Du côté des smartphones, on l'a dit, rien de bien neuf à l'horizon. Les Nokia 3, 5 et 6 sont des terminaux moyen de gamme dotés d'écrans entre 5 et 5,5 pouces et vendus moins de 300 euros comme on en trouve des dizaines. Ils n'apportent aucune valeur ajoutée contrairement aux Lumia de la grande époque.

Et puis il y a cette nouvelle version du 3310 qui a fait tant parlé. Pour certains, il s'agissait même de l'annonce la plus attendue de cette édition 2017 du MWC. Rien que ça. Evidemment, on sait que le vintage paye actuellement, il n'y a qu'à observer le carton de la Mini NES de Nintendo. Mais peux-t-on se relancer avec ça ?

D'autant plus que selon plusieurs journalistes qui l'ont eu en main, cette nouvelle mouture est loin de posséder les qualités de son glorieux aïeux, notamment en terme de robustesse. Le 3310 peut faire la blague mais on ne voit pas bien comment il pourrait concurrencer d'autres feature phone, tout aussi autonomes et vendus 10 euros dans les pays émergents contre 50 euros pour le Nokia. Et ailleurs, qui voudrait d'un mobile 2G alors que ce réseau voix ne sera plus utilisé dans de nombreux pays ?  

Espérons donc que cette première salve de terminaux en soit qu'un apéritif car en l'état, il n'y pas de quoi bousculer le marché.  "HMD doit absolument éviter d'être uniquement perçue comme une marque vintage", résume l'analyste Ian Fogg, d'IHS Markit. "Nokia doit développer des produits haut de gamme dédiés aux marchés mâtures". "Il s'agit d'un départ permettant à HMD de délivrer rapidement des produits mais nous espérons qu'HMD s'orientera vers le premium, notamment autour des capacités photo, une fois qu'HMD aura le temps de véritablement se pencher sur la R&D", ajoute-t-il. 

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Google lance aussi son campus Hi-Tech

28 Février 2017, 21:02pm

Publié par Grégory SANT

Google lance aussi son campus Hi-Tech
Google lance aussi son campus Hi-Tech
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Robocar : la voiture autonome prête pour les Roboraces

28 Février 2017, 20:58pm

Publié par Grégory SANT

Robocar : la voiture autonome prête pour les Roboraces

Il y a presque un an de cela, Roborace révélait le design de sa voiture de course autonome. La Robocar avait étonné par ses lignes audacieuses imaginées par Daniel Simon, qui a travaillé dans le cinéma sur les films de science-fiction Tron:Legacy et Oblivion. En attendant la version finale, Roborace s'est attelé au développement de la voiture avec deux prototypes baptisés DevBot.

Nous avons suivi leur progression jusqu'à leur premier affrontement sur le circuit urbain tracé dans la ville de Buenos Aires (Argentine) il y a quelques jours, en marge du championnat de Formule E. Techniquement déjà très abouties, les voitures autonomes de la Roborace ne sont en revanche pas très enthousiasmantes d'un point de vue esthétique. La curiosité était grande de savoir à quel point la version finale s'approcherait du concept très prometteur de Daniel Simon.

Aux commandes, une IA propulsée par la plateforme Drive PX2 de Nvidia

Bonne surprise, le modèle dévoilé lors du Mobile World Congress est une copie conforme ! Dépourvue de cockpit central, la Robocar rompt avec les codes de la voiture de course telle que nous la connaissons aujourd'hui pour tendre vers un engin tout droit sorti d'un jeu vidéo ou d'un film. Entièrement en fibre de carbone, elle pèse 975 kg pour cinq mètres de long et deux mètres de large. La voiture autonome à transmission intégrale sera propulsée à des vitesses pouvant atteindre 320 km/h par quatre moteurs électriques de 300 kW chacun.

Pour percevoir son environnement à 360 °, elle est équipée de cinq Lidar, deux radars, dix-huit capteurs à ultrason, six caméras et deux capteurs de vitesse optiques. L'intelligence artificielle (IA) qui pilotera ce bolide est animée par la plateforme de calcul ouverte Drive PX2 de Nvidia. Conçue spécialement pour les IA automobiles, elle est capable d'effectuer jusqu'à 24 trillions d'opérations d'apprentissage profond par seconde. La Robocar devrait commencer à limer l'asphalte d'ici quelques semaines. On est impatient de la voir tourner !

Source : futura-sciences.com

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Les céramiques de Priscillia Ermer

27 Février 2017, 19:03pm

Publié par Grégory SANT

Les céramiques de Priscillia Ermer
Les céramiques de Priscillia Ermer
Les céramiques de Priscillia Ermer

Crowfunding: Lou, la marque de céramiques design de Priscillia Ermer

Priscillia Ermer, artiste et designer française pluridisciplinaire sur Annecy, présente Lou, la marque Made In France qui allie Design & Céramique en terme de vaisselle, d’objets de décoration et de bijoux.

Designer textile de formation, et, aujourd’hui, designer Tendance, Couleur & Matière, Priscillia est curieuse, sensible, créative et surtout passionnée pour la terre depuis bientôt trois ans. Son histoire avec la porcelaine relève du coup de foudre de part sa finesse, sa pureté et son caractère.

« Je rencontre des céramistes, je prends des cours, je participe à des stages et des conférences. Depuis octobre 2016, j’ai rejoint un collectif créatif : PSHiiiT qui me permet d’occuper un atelier partagé sur Annecy. ». – Priscillia Ermer

 

Crystal Palace est une collection en porcelaine de la marque Lou qui se joue des ombres et de la lumière.

 

Le point de départ ce sont des objets enverre, existants, qu’on ne regarde pas vraiment, et, empruntés à l’industrie. Le fait de changer leur matérialité révèle chaque détail que la porcelaine blanche incarne, chaque facette, chaque surface, chaque arête…

Là où le verre se fait traverser par la lumière, la terre, elle, jue avec les ombres. On ne regarde plus le contenu mais le contenant.« Ce qui me motive le plus c’est le retour aux valeurs simples : une re-connexion authentique avec un matériau naturel. Mais surtout, il s’agit de créer et faire avec ses mains ». – Priscillia Ermer

Les objets sont usuels, puisque émaillés à l’intérieur, ils se renversent volontiers pour révéler la pureté de la porcelaine.

 

Les techniques de moulages permettent de fusionner des objets pour concevoir de nouveaux volumes. Cette forme de design par la fusion, l’extension, la déformation de l’existant ouvre de nouvelles perspectives pour la petite série.

 

Retrouvez la campagne Crowfunding du projet LOU

Plus d’informations sur l’artiste Designer Priscillia Ermer

Retrouvez notre sélection de projets en CROWDFUNDING

source : blog-espritdesign.com

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Sony Xperia Touch : un écran tactile virtuel

27 Février 2017, 19:01pm

Publié par Grégory SANT

Le MWC ne rime pas qu’avec mobile, et certains constructeurs en profitent pour présenter quelques nouveautés. C’est le cas de Sony et de son Xperia Touch.

Ce n’est pas la première fois que Sony nous montre cet étrange petit projecteur, et le MWC ne fait exception. Désormais baptisé Xperia Touch, cet appareil permet de projeter un plan de travail sur une table ou un mur. Le tout est rendu tactile grâce à différents capteurs infrarouge, ce qui permet de pouvoir directement travailler sur de nombreuses surfaces.

Des possibilités intéressantes

Comme vous pouvez le constater, l’écran d’accueil de ce projecteur SXRD (et pas laser) permet de consulter la météo, d’effectuer des recherches, de consulter son agenda voire des mémos écrit ou vidéo. Il sera parfaitement possible de consulter des sites comme YouTube et même d’utiliser des services de chat instantanés.

L’intégration du Google Play Store permet de bénéficier de l’intégralité de catalogue d’application d’Android. Il bénéficie d’une interface signée Sony, qui propose nativement des options et des jeux à destination des plus jeunes.

Disponible dès le printemps 2017 en exclusivité chez Orange, le boitier coûte hélas la somme de 1500 euros. Un tarif qui en refroidira plus d’un même si l’idée de base est effectivement intéressante.

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Les tendances technologiques au SIMA

27 Février 2017, 18:58pm

Publié par Grégory SANT

Le Mondial des fournisseurs de l’agriculture et de l’élevage (SIMA) se tient depuis le 26 février et jusqu'au 2 mars à Paris. Pour l’occasion, sa Présidente Martine Dégremont nous liste les 4 tendances du salon. Et de l’agriculture donc… 

L’autonomie du tracteur, le tassement des sols, l’agriculture de précision ou encore le numérique… voici les quatre tendances du Mondial des fournisseurs de l’agriculture et de l’élevage – le SIMA – qui se déroule du 26 février au 2 mars à Paris Nord Villepinte. Le salon sera peuplé de 1770 exposants internationaux, tous fabricants de matériel agricole ou de service, et de 240 000 visiteurs internationaux (attendus). Sans oublier les tracteurs, drones et autres machines agricoles qui seront exposées.

Organisé tous les deux ans à Paris, le SIMA est un événement unique au monde, tient à préciser Martine Dégremont, sa Présidente. « Tous les deux ans, nous avons de très grandes innovations : premier robot de traite, premier tracteur à hydrogène, etc. », souligne Martine Dégremont. « J’ai toujours entendu dire que les grandes innovations commençaient par l’armée, passaient par l’agroéquipement et allaient ensuite dans l’automobile. L’agroéquipement est en avance depuis très longtemps dans les nouvelles technologies. Le tracteur autonome est arrivé il y a 6 ou 7 ans, la vision tête haute a commencé par les tracteurs. C’est vraiment un secteur innovant ! »

Et cette année, l’innovation pourrait se trouver parmi ces quatre grandes tendances que sont le tracteur autonome, l'agriculture de précision, le tassement des sols ou le numérique. De nombreux exemples pourraient être donnés pour ces tendances. La Présidente du SIMA en a sélectionné quelques-uns pour Industrie & Technologies.

L’innovation débute dans l’agriculture

Du côté de l’autonomie du tracteur, elle évoque les machines de Case IH et New Holland, centrées sur la robotisation des opérations culturales plutôt que la robotisation de l’engin lui-même. Celui de Case est particulièrement original : la cabine est absente, contrairement au tracteur présenté par New Holland. « L’autonomie est de plus en plus grande : on peut avoir en temps réel les éléments extérieurs. » En tassement des sols, les pneumaticiens ont réalisé des pneus révolutionnaires qui s’adaptent au sol sur lequel le tracteur est posé. C’est notamment le cas des produits Michelin. L'entreprise présentera son pneu évolutif 2 en 1 Michelin Evobib, ou encore Trelleborg avec sa pression de gonflage variable selon la charge.

« Aujourd’hui, quand vous êtes sur l’autoroute et que vous voyez un tracteur dans son champ, il travaille au centimètre près. Tout ce qui est GPS, cartographie est entièrement intégré dans l’agriculture. » C’est l’agriculture de précision. Et pour ce qui est du numérique, le SIMA accueillera un village de 15 start-up proposant des technologies révolutionnaires autour de la météo de précision, du partage de l’information, de la pulvérisation, de la santé du végétal et du suivi de la maladie, ou encore des robots agricoles. 

Source : industrie-techno.com

 

 

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Tale Me : une start-up qui crée un buiness upcycling,

27 Février 2017, 18:52pm

Publié par Grégory SANT

 
 
La marque Tale Me a ouvert depuis janvier un pop-up store au 14, rue du Château-d'Eau, dans le 10ème arrondissement de Paris. (Crédit : Tale Me)
 
Lancée en janvier en France, la marque belge Tale Me permet de louer des vêtements répondant aux normes sociales et environnementales les plus exigeantes. Un modèle basé sur l'économie circulaire et l'upcycling, qui nécessite aussi un changement dans les mentalités.La marque Tale Me a ouvert depuis janvier un pop-up store au 14, rue du Château-d'Eau, dans le 10ème arrondissement de Paris. (Crédit : Tale Me)
S’habiller de façon éthique et respectueuse de l’environnement, c'est désormais possible. Mais comment le faire sans se ruiner ? En Belgique, une jeune maman entrepreneuse a trouvé la solution : la location. Un concept particulièrement adapté à la grossesse ou aux jeunes enfants, qui doivent changer fréquemment de tenue. C’est ainsi qu’est née en 2014 la marque Tale Me, qui vient d’ouvrir un magasin à Paris.
 
"En tant qu’ingénieure dans l’industrie textile, j’ai pris conscience très tôt de la dangerosité des produits qui nous entourent, raconte Anna Balez, sa fondatrice. C’est particulièrement effrayant quand on se penche sur les perturbateurs endocriniens dans les vêtements et couches pour bébés, qui sont directement en contact avec leur peau et y infusent pendant toute la journée !"
 
 
 
 

Abonnement au mois

Reste qu'il est difficile d'investir 80 euros dans une pièce en coton bio, surtout lorsque l’on sait que celle-ci sera trop petite en à peine quelques mois. "La solution réside dans l’économie circulaire. Il faut arrêter de vouloir toujours tout posséder si on souhaite limiter notre empreinte environnementale !", assure Anna Balez.
 
Sur le site de Tale Me, on peut choisir parmi un éventail de vêtements pour femme enceinte ou enfants de 0 à 4 ans. Tous sont conçus par la marque belge au sein d’un atelier en insertion ou par de petits créateurs affiliés. Le tout dans des tissus bio, produits et assemblés en Europe de l’ouest et répondant aux plus exigeantes des normes Oeko-tex allemandes.

Les prix, eux, vont de 19 à 44,90 euros par mois, selon que l’on choisisse une formule de 3, 5 ou 10 pièces en location. Il est possible de les garder autant que voulu, avant de les échanger grâce à un colis réutilisable, sans aucun frais supplémentaires. "Si une pièce vous plait vraiment, vous pouvez aussi l’acheter", précise la chef d’entreprise. "Mais on ne l’encourage pas car, de toute façon, elle risque de se retrouver rapidement trop petite."
 
 
 
 

Upcycling et économie circulaire

Et si on tâche son vêtement ? Si on le déchire ? Pas de panique, c’est compris dans le prix et "ça fera la joie de nos couturières", assure Anna Balez. En effet, le modèle économique de Tale Me repose sur l’upcycling. Une forme de recyclage qui consiste à prolonger le plus possible la durée de vie des produits avec le minimum de ressources et d’énergie. En clair : "On change le col ou le bout des manches, on pose un biais sur le bord du vêtement ou on réutilise le tissu intact pour une nouvelle création. Tous nos vêtements ont ainsi une histoire, d’où notre nom : Tale Me".
 
Pour continuer à se développer, la start-up vient de lancer une campagne de financement participatif en actions sur la plateforme 1001pact. Parmi ses objectifs, le lancement d'une ligne pour homme. "C'est une demande que nous ont fait beaucoup de papas." La marque va aussi s'étendre en Europe. Après Paris, Berlin.
source : wedemain.fr

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Watson : une IA capable de diagnostiquer une maladie cardiaque

24 Février 2017, 20:10pm

Publié par Grégory SANT

Watson : une IA capable de diagnostiquer une maladie cardiaque

L'humain fait des erreurs, c'est ainsi. Dans le domaine de la médecine, cela peut conduire à professionnel à passer à côté d'un diagnostic. Avec les avancées en matière d'intelligence artificielle cependant, il pourrait être possible de ne plus jamais passer à côté d'une maladie cardiaque. Watson en est en tout cas tout à fait capable !

Watson, c’est le nom de l’intelligence artificielle d’IBM. Récemment, le géant de l’informatique annonçait une nouvelle fonctionnalité : la détection de maladie cardiaque. Pour ce faire, Watson fouille dans une immense base de données et d’imageries médicales. Fort de ce savoir, la machine peut identifier les points qui ont besoin d’un suivi plus précis pour la sténose aortique.

Selon Jaime Murillo, cardiologue au Sentara Healthcare, la sténose aortique est l’une des pathologies les plus difficiles à détecter pour les cardiologues : « si vous avez une image ultrason du coeur, la qualité [des soins] peut être affectée par la qualité de la technologie et par des variantes dues à l’interprétation de ces images par les spécialistes. Avec Watson, nous voulons standardiser et améliorer la précision du diagnostic pour offrir aux patients de meilleurs soins et un meilleur suivi.«

Ceci étant dit, IBM voit plus loin que les seules maladies cardiaques. Watson pourrait être le parfait instrument pour détecter le cancer du sein ou une maladie pulmonaire, cérébrale ou oculaire – comme la rétinopathie diabétique.

 

Source : ubergizmo.com

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Le Living Office : la nouvelle tendance d'aménagement de bureau

24 Février 2017, 19:59pm

Publié par Grégory SANT

Le Living Office : la nouvelle tendance d'aménagement de bureau
“Si les gens sont heureux, ils bossent mieux”, tel serait le credo de la société ArtDesk qui distille au sein des grandes entreprises sa philosophie du bien être des collaborateurs. Il faudrait ainsi aujourd’hui parler le langage du “living office” pour se faire entendre de la nouvelle génération de travailleurs.

Pour mieux comprendre comment se dessine le futur de nos espaces de travail, nous avons interrogés Nicolas Paugam, cofondateur du Groupe ArtDesk, société d’aménagement d’espaces et Bernard Michel, président de la foncière immobilière Gecina qui investit les questions sur les « futurs du travail » au sein du laboratoire de prospection et d’innovation, Gecina Lab.

Quelles grandes tendances voyez-vous aujourd’hui autour des espaces de travail ?

Nicolas Paugam : La grande tendance que nous défendons chez ArtDesk est celle du “living office”, soit le travail en activités. C’est un concept qui est à différencier du “flex-office” : on ne vient pas au bureau en “mode hotelling” mais pour trouver le meilleur espace adapté qui permettra aux salariés de mener à bien leurs fonctions.

Bernard Michel : Les espaces de travail ne sont au final que la résultante de la révolution numérique, entraînant une nouvelle organisation du travail. Ils doivent être ainsi plus flexibles et ouverts sur la ville afin de favoriser la synergie entre les secteurs, les métiers et les acteurs. Ces deux paramètres amènent les grandes entreprises à sortir de l’organisation taylorisée et permettent de construire un écosystème tourné vers l’innovation, en l’occurence la nouvelle économie et les démarches de CorporateVenture.

Quelles sont les méthodes pratiques pour démarrer la révolution de son lieu de travail ?

N.P : Pour faire la révolution des bureaux, c’est au management qu’incombe la responsabilité de lancer le mouvement. Le manager doit décider de changer complètement son modèle d’organisation pour ensuite amener ses équipes projets à réfléchir et concevoir des espaces innovants. Managers et fondateurs n’ont ainsi plus de bureaux chez ArtDesk et se retrouvent au centre des équipes. Mais le plus important est de déployer des espaces dotés de services multiples. Chaque espace doit être pensé en fonction de l’usage et du programme de la journée. 

B.M : C’est l’approche par l’expérimentation qui est la première étape à déclencher. Aujourd’hui, c’est d’ailleurs la leçon que nous pouvons retenir des startups qui “test-and-learnent” en flux tendu via une méthode dite “agile”. Concrètement il s’agit de pratiquer les nouvelles formes d’organisations du travail allant du bureau mobile à l’utilisation des réseaux sociaux en passant par le coworking, à l’image de ce que nous déployons au sein du siège de Gecina.

Comment voyez-vous le poste de travail du futur ? La réalité mixte sera-t-elle le prochain grand rendez-vous ?

N.P : Avant de parler de réalité mixte, il faut parler de l’ère des idées. Nous avons connu l’ère de l’industrie, puis celle du numérique ; aujourd’hui, nous sommes dans l’ère des idées. Autrement dit, on mise sur le travail collaboratif et moins sur le travail individuel. Pour le poste de travail du futur, il faut donc désormais s’adapter à ce revirement de situation et apprendre en entreprise les codes de l’habitation, celui du ‘Home Sweet Home’. On a en effet été meilleur dans la construction de nos espaces de vie privée que dans ceux du tertiaire, explique Nicolas. Dans une maison chaque zone correspond à une activité menée. On imagine par exemple mal éplucher nos carottes dans la salle de bain, et c’est ce qui s’est malheureusement passé dans l’entreprise. Il s’agit donc désormais de repositionner l’humain au centre de l’organisation.

Concernant les outils technologiques, par définition, ils accompagneront le travail de demain. Nous serons en effet de plus en plus nomades et nous pouvons déjà imaginer de la visioconférence plus poussée, comme la projection d’hologrammes pour se situer tout de suite à l’intérieur de l’entreprise. Cependant, avant de penser “technologie”, c’est à l’humain de reprendre le contrôle sur l’immobilier en le rendant plus flexible. 

B.M : La réalité mixte est avant tout un moyen qu’il faut déployer à condition qu’elle soit réellement au service de l’humain, c’est à dire au service de l’amélioration des façons de travailler mais aussi du bien-être des salariés en entreprise.  Le prochain grand rendez-vous sera donc davantage celui de l’innovation sociale où le “vivre mieux” et les questions de résilience (qu’elles soient technologiques ou rattachées à des enjeux de biodiversité) feront appel à la révolution numérique pour améliorer la responsabilité, le bien-être et au global la compétitivité de l’entreprise.

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Googl crée le modérateur intelligent

24 Février 2017, 19:55pm

Publié par Grégory SANT

Googl crée le modérateur intelligent

Après les articles mensongers, l’une des plus grosses plaies d’Internet est les propos haineux, qui rendent le travail des modérateurs compliqué.

Mais Google a peut-être trouvé le moyen de faciliter celui-ci : une intelligence artificielle capable de détecter les commentaires « toxiques ».

Baptisée Perspective, et développée par Jigsaw, entité de Google dont le but est de rendre le monde « plus sûr », elle se base sur une technique appelée machine learning. Avec suffisamment d’exemples, celle-ci permet de créer des intelligences artificielles capables d’imiter l’intelligence humaine.

Pour entraîner Perspective, Google a utilisé des commentaires de Wikipédia, du New York Times et d’autres médias partenaires. Grâce à ses algorithmes et à ces données, Perspective peut assigner un score de toxicité à un texte.

Pour essayer, il vous suffit de vous rendre sur ce site de démonstration, saisir quelque chose et l’outil vous donnera le pourcentage de similarité avec « les commentaires que les gens ont défini comme ‘toxiques’ ».

L’outil n’est pas destiné à remplacer les modérateurs, mais plutôt à les assister. De plus, ses créateurs concèdent qu’il n’est pas encore parfait.

Cependant, la logique du machine learning est que plus l’intelligence artificielle est utilisée, plus elle sera entraînée et plus elle sera performante.

Des outils similaires ont déjà été mis en open-source, mais l’avantage de Perspective, c’est qu’il est proposé sous forme d’API, plus facile à utiliser (a priori).

Il y a aussi la mutualisation qui n’est pas à ignorer. CJ Adams, un responsable de Jigsaw, explique que cet outil offre une nouvelle option pour gérer les commentaires : « Prendre un tas d’intelligence collective – qui continuera à s’améliorer au fil du temps […] ».

En revanche, comme Perspective n’a donné que 12 % de toxicité au commentaire « Putain de merde », je présume que l’outil n’est pas encore très francophone.

Sinon, il est à noter que l’entité Jigsaw a déjà lancé le projet Shiled, qui vise à protéger les entreprises contre les attaques DDoS, ainsi qu’un autre luttant contre la radicalisation via le web avec des publicités ciblées.

Source : presse-citron.net

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