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Concept Honda CB160e par James Stumpf

31 Mars 2016, 17:52pm

Publié par Grégory SANT

Voici un joli concept par James Stumpf pour une version électrique de la Honda cb160. On imagine que les ingénieurs de Honda y jetteront un oeil pour s’en inspirer!

Source : blogdecodesign.fr

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Cannette PET de Volksbier par Cristian Stancu, Viorel Rusu.

31 Mars 2016, 17:51pm

Publié par Grégory SANT

Volksbier PET container by Cristian Stancu, Viorel Rusu. Golden A’ Design Award Winner in the Packaging Design Category.

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Des trous dans les ailes pour améliorer les performances des avions

31 Mars 2016, 17:48pm

Publié par Grégory SANT


A340-300. Illustration: Techno-science.net/JYB

Les effets des couches limites jouent un rôle très important dans la détermination de la traînée d'un avion. Des chercheurs financés par l'UE ont développé une technologie pour le forage de trous d'aspiration dans les principaux composants qui produisent la traînée des avions, comme les bords d'attaque des ailes et les empennages horizontaux, qui devraient entraîner d'importantes économies d'énergie.

Un moyen efficace de réduire la traînée due au frottement superficiel d'un avion est de maintenir une condition appelée flux laminaire dans laquelle l'air glisse sur les surfaces de l'avion sans devenir turbulent. Les petites imperfections de surface ou les perturbations peuvent toutefois gâcher le flux laminaire. De nombreuses expériences en laboratoire et des tests en soufflerie ont démontré qu'une telle condition peut être réalisée d'une autre manière: l'aspiration peut retarder la transition de la couche limite du flux d'air d'un flux luminaire en flux turbulent.

Dans le projet CLEANSKY-LBD (Adaptation of a generic wind tunnel model for attachment line transition measurements), les chercheurs ont réussi à développer un système de forage laser qui produit 400 minuscules trous par seconde d'un diamètre entre 50 et 100 ?m.

À l'aide d'un laser puissant à base de fibres, l'équipe a obtenu des trous sans bavures, qui augmentent le frottement et la chaleur non désirés. Elle a également surmonté des obstacles liés à la stratégie de forage et au système de fixation, garantissant un forage rapide et une distribution homogène dans un panneau de deux mètres de long. La peau d'aspiration perforée était intégrée dans un modèle de soufflerie avec des inserts interchangeables.

La trainée de frottement de la peau représente presque 50 % de la trainée totale d'un avion. La technologie CLEANSKY-LBD contribue grandement aux objectifs ambitieux du programme Clean Sky de réduction de la consommation de combustible et des émissions de dioxyde de carbone liées. La production réussie d'inserts pour les tests de soufflerie peuvent réduire les coûts et le temps de commercialisation de la technologie des trous d'aspiration.

Source : techno-science.net

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Veloo : Le vélo connecté pour enfants

31 Mars 2016, 17:40pm

Publié par Grégory SANT

  • © 2014 Stefan Silberfeld, Isabel Prade, Ali Kerem Atalay
    University of Applied Arts Vienna

  • The roll-brake is using a simple permanent magnet motor which speed is adjusted by changing resistance. Energy is recovered to a small battery. Every possible adjustment is designed to be child-safe (2-finger unlocking).

    The wearable consists of vibration motors and two buttons, a Message-button to send stipulated messages and a Stop-button to carefully trigger the brake.

    The handlebar has a simple switch and vibration motors for communication.

  • Design Language: Bold; clear lines, strong colors, distinct textures, emoticons


  • Source : industrialdesignserved.com

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Treehouse la maison autour d'un arbre par Aibek Almassov

30 Mars 2016, 18:36pm

Publié par Grégory SANT

Les enfants rêvent d'avoir une cabane dans les arbres, l’architecte Aibek Almassov, lui, en a imaginé une pour les adultes. Dans son projet, nommé Treehouse, ce jeune Kazakhstanais a conçu un espace de vie entièrement vitré, de forme cylindrique, qui entoure un arbre sur quatre étages.

Avec une vue à 360 degrés sur la forêt, l'endroit "permettrait aux hommes de vivre en totale harmonie avec la nature", a confié l'architecte au Huffington Post américain. "Le but principal de ce projet est d'offrir une alternative à l'agitation de la ville".

La structure, totalement écologique, serait composée de panneaux solaires transparents inclus dans les parois en verre. Aibek Almassov explique aussi que "l'eau de pluie sera purifiée et renouvelée pour l'usage quotidien".

Actuellement en négociation avec de potentiels investisseurs, l'architecte espère pouvoir enfin entamer la construction de la maison en 2017 - comme le rapporte Insideedition (le projet est à l'étude depuis 2013).

Considérant le peu d'intimité que laisse la structure transparente (même installée au milieu d'une forêt), l'architecte envisage d'ouvrir le site au public plutôt que d'en faire une habitation familiale. Découvrez-là ci-dessous :

  • A. MASOW ARCHITECTS

  • A. MASOW ARCHITECTS

  • A. MASOW ARCHITECTS

  • A. MASOW ARCHITECTS

  • A. MASOW ARCHITECTS

  • A. MASOW ARCHITECTS

  • A. MASOW ARCHITECTS

  • Source : huffingtonpost.fr

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Prismadd : l'impression 3D de série

30 Mars 2016, 18:30pm

Publié par Grégory SANT


Crédit Prismadd - La zone de production de Prismadd en fabrication additive à Montauban.

Moins de deux ans après sa création à Montauban (Tarn-et-Garonne) en octobre 2014, Prismadd se lance ses premières production de pièces en titane pour l'aéronautique en fabrication additive. La société multiplie les implantations et compte s'imposer grâce à cette technologie de rupture.

Les machines sont en place, les prototypes en cours de qualification. Les premières productions en série seront lancées sur le site de Montauban (Tarn-et-Garonne) au mois de juin 2016 : trois premières références de pièces de structure en titane, pour l'A350. Prismadd propulse la fabrication additive à l'échelle industrielle grâce à un premier contrat de 6 millions d'euros signé avec Airbus. Et ce n'est qu'un début. D'autres projets sont en développement avancé avec Airbus, mais aussi Safran, Stelia, Ratier Figeac, Latécoère ou encore Turbomeca...

Tout va très vite: 15 millions d'euros ont été investis depuis la fin de l'année 2014, dont six millions d'euros sur le site de Montauban, deux millions d'euros sur chacun des trois autres sites français et trois millions d'euros au Japon. Le plan stratégique de l'entreprise prévoit d'autres implantations en Ile-de-France, mais aussi en Allemagne, en Grande-Bretagne, en Espagne, en Inde et aux USA. "Nous comptons investir pas moins de 40 millions d'euros supplémentaires d'ici 2020", précise Philippe Rivière. A cet horizon, Prismadd devrait employer 250 salariés dans le monde.

Pour Montauban, où la société a son siège et dispose déjà de 1 500 mètres carrés de locaux, cela devrait se traduire par une dizaine de millions d'euros d'investissements supplémentaires, avec l'acquisition de nouvelles machines de fabrication additive et d'une torche plasma pour maîtriser la production des poudres.

Quatre premières implantations en France et une au Japon

Outre son site historique, Prismadd s'est dotée de deux autres implantations dans les Côtes d'Armor et en Loire-Atlantique. En janvier 2016 une quatrième implantation a été inaugurée en Isère, dans le cadre d'un partenariat avec OMG, pour une diversification hors aéronautique. Une première implantation à l'international a été concrétisée au Japon, avec Yamaichi Special Steel.

Prismadd travaille aussi aux côtés d'Airbus dans le cadre d'un programme baptisé Green Titanium, pour la mise en œuvre d'une filière de recyclage des copeaux d'usinage en titane avec production de poudres de titane dédiées à la fabrication additive. Prismadd emploie actuellement une quinzaine de salariés sur son site de Montauban, où une trentaine d'emplois supplémentaires seront créés d'ici fin 2017.

Comment expliquer une telle expansion dans une technoloogie encore balbutiante? Primadd est né en fin d'année 2014 du rapprochement entre Farella, un usineur aéronautique basé à Montauban spécialisé dans la conception et la fabrication de pièces complexes en métaux durs, Rhonatec, un fabricant de poudres et Creatix3D, un intégrateur d'imprimantes 3D.

l'union fait la force

De quoi permettre au groupe d'affiche une ambition claire : maîtriser toute la chaine de valeur de l'impression 3D, depuis la poudre jusqu'à la production en série de pièces, en plastique comme en métal. "Nous voulons garder notre avance et nous positionner en leader sur nos marchés", souligne Philippe Rivière, président de Prismadd.

Nouveau coup d'accélérateur avec la création de We Are Aerospace, dont Prismadd est devenu l'une des divisions. Explication: l'entreprise a constitué avec Armor Meca (Côtes-d'Armor), Espace et Chatal (Loire-Atlantique) un nouvel ensemble. Initialement regroupés au sien d'un GIE commercial baptisé ACE Aéronautique, ces industriels sont engagés dans un processus de rapprochement capitalistique, avec l'accompagnement d'ACE Management et du fonds spécialisé Aerofund 3.

Une première étape de consolidation vient d'être franchie avec l'intégration de Chatal par Farella et la nomination de Pascal Farella comme président du nouveau groupe. Armor Meca et Espace devraient à leur tour intégrer We Are Aerospace dans les prochains mois. Ensemble, les quatre sociétés emploient 1 000 salariés et pèsent 120 millions d'euros de chiffre d'affaires. Prismadd peut ainsi compter sur des industriels bien ancrés dans leur éco-systèmes et qui lui assurent les tâches d'usinage de finition pour gagner de nouveaux marchés.

Source : usinenouvelle.com

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Le cloud robotics et le Macine Learning par Fanuc

30 Mars 2016, 18:28pm

Publié par Grégory SANT

Les robots investissent de plus en plus le secteur industriel mais ont, jusqu’à présent, toujours eu besoin de l’homme pour fonctionner. Avec le machine learning et le cloud robotics, les robots pourraient bientôt prendre leur indépendance.

Demain, on pourra demander à un robot de réaliser une tâche, comme prendre un objet dans une boîte pour le déposer à un autre endroit et pendant la nuit, la machine aura appris tout seul à exécuter sa mission. C’est le robot industriel construit par la société japonaise FANUC à l’aide des programmateurs de Preferred Networks.

L’entreprise a utilisé une méthode de machine learning appelée « apprentissage par renforcement profond ». Le robot intègre la demande qui lui a été faite et essaye de réaliser son action. Le processus est filmé entièrement et chaque fois que le robot réussit ou échoue dans une étape, il se souvient de ce qu’il s’est passé et affine son modèle d’apprentissage, c’est-à-dire le réseau électronique qui contrôle son action. En huit heures, il a assimilé l’exécution de sa tâche à 90 % ou plus, soit presqu’autant que s’il avait été programmé par un professionnel.

La programmation de telles machines demande un temps et une expertise considérable afin d’atteindre la précision et la rapidité qu’exige le domaine industriel. Elles ne peuvent alors exister qu’au sein d’environnements hautement supervisés ! Ce nouveau type de robot ultra-intelligent apparaît donc comme un gain de temps et de ressources. Il permet même de voir plus loin avec la cloud robotics, c’est-à-dire mettre en commun l’apprentissage de plusieurs robots qui pourraient partager leurs connaissances et résoudre la programmation de leur tâche encore plus rapidement. Par exemple, huit robots travaillant sur la même action pendant huit heures donneraient le même résultat qu’un seul robot s’entraînant toute la nuit. Les possibilités deviennent alors vertigineuses.

Source : atelier.net

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Quand le plastique contient du bois

30 Mars 2016, 18:23pm

Publié par Grégory SANT

Remplacer le célèbre plastique ABS – celui des briques Lego notamment – par un mélange de lignine et de caoutchouc synthétique serait assez facile selon des scientifiques américains. La réaction peut se faire à moins de 160 °C et sans solvant. Une recette prometteuse mais qu'il reste à peaufiner.

Lego, c’est 6.000 tonnes de plastique utilisées chaque année, dont 70 % d'ABS, issu de dérivés du pétrole. Une situation qui ne devrait plus durer très longtemps. Peut-être grâce à un plastique à base de lignine développé par des chercheurs américains de l'Oak Ridge National Laboratory. © ThamKC, Shutterstock

Pare-chocs de voiture, casques de protection et briques de Lego ont une chose en commun : ils sont moulés dans une matière plastique à la fois légère et résistante, un polymère appelé ABS, pour acrylonitrile butadiène styrène. Et c’est bien là que le bât blesse. Car le plastique ABS présente l’inconvénient d’être produit à l’aide de dérivés du pétrole. La situation semble ne plus convenir au géant du jouet danois Lego qui a annoncé, à l’été 2015, un investissement de quelque 135 millions d’euros et un recrutement d’une centaine d’ingénieurs pour mettre au point un nouveau plastique sans pétrole, plus respectueux de l’environnement. À en croire l’annonce de chercheurs américains de l’Oak Ridge National Laboratory, la solution pourrait venir de la lignine, l’un des principaux constituant du bois.

La lignine est un polymère naturel. Après la cellulose, elle est le deuxième biopolymère renouvelable le plus abondant sur Terre. Mais elle est loin d’être exploitée à sa juste valeur. Alors, les chercheurs de l’Oak Ridge National Laboratory se sont intéressés à l’une de ses principales caractéristiques physiques. La lignine confère en effet au bois sa rigidité. Les chercheurs américains ont donc pensé l’utiliser pour produire une matière plastique meilleur marché et plus propre que le plastique ABS avec, qui plus est, des performances au moins égales de fusibilité, de ductilité et de moulabilité et même des performances bien supérieures de résistance.


Le plastique à base de lignine conçu par les chercheurs de l’Oak Ridge National Laboratory est « vert » en ce sens qu’il compte 50 % de composants renouvelables. Il est également recyclable au moins trois fois, sans perdre de ses qualités. © Yves Tennevin, Flickr, CC by SA 2.0

De la lignine « trempée »

La lignine, cependant, est un polymère plutôt fragile. Il fallait trouver le moyen de la « tremper », au sens que donnent à ce mot les métallurgistes. Les chercheurs américains ont dispersé des morceaux de lignine de dimensions nanométriques dans une matrice de caoutchouc synthétique. Pour coupler les deux, ils n’ont pas eu à faire appel à des solvants. En effet, le caoutchouc butadiène-acrylonitrile – encore appelé caoutchouc nitrile – qu’ils ont utilisé et la lignine présentent des groupes chimiques dans lesquels les électrons sont inégalement distribués et sont donc susceptibles d’interagir entre eux.

Après avoir malaxé le mélange en fusion, les chercheurs de l’Oak Ridge National Laboratory ont observé la formation de structures à base de lignine de 10 à 200 nanomètres de long qui se sont mises à interagir avec le caoutchouc nitrile. Le résultat : une matière plastique baptisée ABL – acrylonitrile butadiène lignine – ne présentant plus ni toutes les propriétés du caoutchouc, ni celles de la lignine mais une combinaison intéressante mêlant la rigidité de la lignine à l’élasticité du caoutchouc.

Pour préciser leurs travaux, les chercheurs américains ont étudié les conséquences de diverses variations de paramètres sur le matériau obtenu en fin de processus. Ils ont ainsi déterminé que la lignine issue de feuillus, comme le chêne, présente une stabilité thermique optimale. Ils ont aussi conclu que la proportion idéale d’acrylonitrile dans le mélange se situe autour de 41 %. Quant à la température du mélange, mieux vaut la garder entre 140 et 160 °C.

Reste désormais à pousser plus loin les investigations pour déterminer, entre autres, comment exploiter au mieux, par exemple, les sous-produits de l’industrie papetière pour alimenter une potentielle production industrielles d’ABL. Ou encore pour étudier les performances de cette nouvelle matière plastique dans des matériaux composites renforcés de fibres de carbone.

Source : futura-sciences.com

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Moto CX500 Streamline aluminium par Dimitri Bez

29 Mars 2016, 20:32pm

Publié par Grégory SANT

Dimitri Bez, jeune designer français ayant fondé son propre studio du côté de Besançon, découvert il y a quelques mois pour son projet de Moto Honda CB 1100, il revient pour un nouveau modèle de deux-roues baptisé CX500 Streamline.

« Pur dans les formes et la matière. C’est l’idée que c’est fait Dimitri Bez pour le design de la CX500. Inspiré du design streamline, les lignes sont aérodynamiques, dans le sens du mouvement, de simples arêtes dessinent les volumes, tant sur l’échappement que le réservoir. Dans la même mouvance que le design de la CB1100, la CX500 Streamline tire un style rétro futuriste, dont le contraste intrigue.«

Un style cafe racer tout aluminium minimaliste qui semble séduire de plus en plus de personnes, inspirations passées et applications modernes, les stries et rainures insufflent le mouvement.

Jantes pleines et échappement imposants, viennent souligner les choix stylistiques du designer, et vous qu’en pensez-vous ? Si des experts passent dans le coin, nous sommes preneurs de vos remarques, style, mécanique, critiques…

Style et philosophie du designer : « Le rôle du designer est de rendre l’ objet nécessaire dans son environnement. C’est un designer qui tend à remettre en question les concepts, afin de les confronter à notre monde contemporain en perpétuel changement. Poussé par cette motivation, il imaginera notamment le poêle à bois « Wilson » qui sera récompensé lors du concours design Invicta (2012), et le projet de véhicule solaire « Sun » qui recevra un prix lors du concours Argus

(2010).«

Source : blog-espritdesign.com

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Canhe-fit : le collier connecté pour votre chien

29 Mars 2016, 20:27pm

Publié par Grégory SANT

Le Canhe-Fit est au chien ou au chat ce que le Fitbit est à l'homme : un traqueur d'activité permettant d'améliorer son mode de vie.

Après l'homme puis la machine (la voiture, le vélo...), c'est au tour de l'animal de bénéficier d'un objet connecté consacré au bien-être et à un mode de vie sain. Le Canhe-Fit est un pendentif pour chien ou chat dont la campagne de financement participatif a commencé ce matin sur Indiegogo.Tout comme un bracelet Fitbit ou un module Oocar, le Canhe-Fit mesure l'activité de celui qui le porte pour prodiguer des conseils. En l'occurrence, l'application indique quelle dose de nourriture il faut donner chaque jour à son chien ou à son chat selon qu'il s'est dépensé ou non. La race, l'âge et le poids de l'animal sont pris en compte, ainsi que le type de nourriture ou la marque de croquettes.

Voiture connectée : Oocar : un module diagnostic à 40 euros misant sur les économies

La startup toulousaine Canhegat, qui ambitionne de lancer d'autres produits consacrés au bien-être animal, compte ainsi lutter contre le surpoids, qui toucherait 30 % des animaux de compagnie. Pour encourager les maîtres à sortir leurs animaux, l'application mise sur la gamification, avec un réseau social interne et un classement. On peut par ailleurs partager le profil de son animal avec son vétérinaire.

Une fonction anti perte communautaire


Dessiné par un designer industriel français, l'appareil qu'on fixe au collier de son animal remplit également la fonction de balise Bluetooth. En exploitant le mode Low Energy de la technologie, il permet à un animal perdu d'émettre pendant 8 mois. S'il passe à portée d'un autre membre de la communauté (30 à 40 m), ce membre ainsi que le propriétaire sont alertés.

La campagne de financement participatif est disponible dès à présent. À terme, le Canhe-Fit sera vendu au prix public de 110 dollars. Les livraisons sont attendues au mois d'octobre 2016.

Source : clubic.com

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